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Site internet de l’Association d’études fouriéristes et des Cahiers Charles Fourier

Laureau, Hippolyte
Article mis en ligne le 18 février 2013
dernière modification le 18 novembre 2016

par Sosnowski, Jean-Claude

Né à Saulieu (Côte-d’Or) le 5 janvier 1819. Architecte de la ville de Guelma (Algérie) et inspecteur des bâtiments civils de la province de Constantine (Algérie). Correspondant de l’Ecole sociétaire à Constantine (Algérie) en 1846.

En juin 1846, Victor Hennequin indique que (Jean-Baptiste) Hippolyte Laureau est correspondant de l’Ecole sociétaire à Constantine, à l’occasion de la rencontre qu’il a avec son père Jean-Marie Auguste Laureau [voir cette notice], à Semur-en-Auxois (Côte-d’Or), lors d’un cours de science sociale qu’il donne chez Jean-Jacques Collenot [1].

Hippolyte Laureau a été élève d’Henri Labrouste, à l’école des Beaux-arts de Paris, promotion de 1842, avant d’être employé comme architecte en Algérie. Il épouse, à Paris le 4 février 1854, Marie Aimée Hindenlang, née le 20 avril 1834 à Paris, d’Aimé Hindenlang, décoré de juillet 1830 [2], et Marie Louise Caroline Beau. Il est inspecteur principal des bâtiments civils de la Province de Constantine, domicilié à Guelma lorsqu’il déclare la naissance de sa fille Marie Noémie née le 17 octobre 1854. Marie Noémie décède le 17 août 1855. Une seconde enfant prénommée Marie Noémie Victorine naît le 27 juillet 1856. La famille réside toujours à Guelma, rue Jugurtha, où Hippolyte Laureau est également architecte. Il liquide sa pension civile à compter du 1er avril 1870. Lors de son décès le 15 mars 1882 à Guelma, Marie Aimée Hindenlang est qualifiée de veuve et rentière.

Hippolyte Laureau est inscrit dans le répertoire Noirot des contacts et abonnés de la Librairie des Sciences sociales, établi au cours des années 1860. Il est abonné à La Science sociale en 1867 et 1868 et renouvelle son abonnement pour 1869.