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Frillié, Jean-Baptiste
Article mis en ligne le 10 décembre 2012
dernière modification le 17 avril 2017

par Sosnowski, Jean-Claude

Né à Dijon (Côte-d’Or) le 23 juin 1790. Décédé à Vichy (Allier) le 1er octobre 1839. Vérificateur des poids et mesures à Dijon.

Encore marchand horloger lors de la naissance de son fils en 1821, Jean-Baptiste Frillié est devenu vérificateur des poids et mesures, lorsque Jean-Claude Oudot le cite en 1839, parmi la trentaine de Dijonnais qui « se disent hautement phalanstériens » [1].

Jean-Baptiste Frillié décède le 1er octobre 1839 lors d’une cure à Vichy. Il est veuf de Marie Catherine Joséphine Muteau qu’il avait épousée à Dijon le 20 janvier 1813. Son père, Pierre Frillié était alors qualifié de propriétaire ; sa mère Claudine Berthaut était décédée depuis l’an VIII. Les témoins du mariage étaient Antoine Philibert Villeneuve, alors âgé de 21 ans, marchand orfèvre à Dijon, frère de Laurent-Antoine Villeneuve, gendre de Gabriel Gabet [voir la notice Paul-Emile Villeneuve] et François Malardot, horloger à Dijon, beau-frère de Gabriel Gabet. Le fils de Jean-Baptiste Frillié, Félix, élève à l’Ecole des Beaux-Arts de Dijon, a reçu lors de la session 1839, un secours exceptionnel du département en vue de poursuivre ses études à celle de Paris, « en raison du grave état de maladie dans lequel se trouve son père [...] étude que l’insuffisance des ressources de sa famille ne lui permettrait pas de continuer » [2].


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Les sectes suffisent à elles seules à guider la politique humaine dans le labyrinthe des passions
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