Soutient les projets du groupe des Harmonistes réunis autour de la Correspondance phalanstérienne.

Mme Robert est l’épouse d’Adolphe Robert, fabricant de fleurs artificielles, en tissu, établi 11 rue Bonne-Nouvelle à Paris. En janvier 1844 [1], elle adhère au projet du groupe des Harmonistes composé des médecins Auguste Jounin et Achille Suin, du médecin et pharmacien Adolphe Jouanne, des pharmaciens Philardeau et Augustin Joffroy, dont l’objet est d’« appeler des disciples de Fourier sur la fondation d’une phalange d’enfants [… , de] les inviter à se rallier pour l’établissement de ce premier germe d’harmonie sociétaire en organisant entre eux la société de fondation » et de faire de la Correspondance phalanstérienne « un moyen facile de communications réciproques » [2].